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hela

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Chers amis, bonsoir

Voici un texte de R. Dahl que j'ai traduit, pourriez-vous me dire ce que vous en pensez?

The Hitchhiker

I had a new car. It was an exciting toy, a big B.M.W. It had a top speed of 129 m.p.h. and terrific acceleration. The body was pale blue. The seats inside were darker blue and they were made of leather, genuine soft leather of the finest quality. The windows were electrically operated and so was the sun-roof. The radio aerial popped up when I switched on the radio, and disappeared when I switched it off. The powerful engine growled and grunted impatiently at slow speeds, but at sixty miles an hour the growling stopped and the motor began to purr with pleasure.
I was driving up to London by myself. It was a lovely June day. They were haymaking in the fields and there were buttercups along both sides of the road I was whispering along at seventy miles an hour, leaning back comfortably in my seat, with no more than a couple of fingers resting lightly on the wheel to keep her steady. Ahead of me I saw a man thumbing a lift. I touched the footbrake and brought the car to a stop beside him. I always stopped for hitch-hikers. I knew just how it used to feel to be standing on the side of a country road watching the cars go by. I hated the drivers for pretending they didn’t see me, especially the ones in big cars with three empty seats. The large expensive cars seldom stopped. It was always the smaller ones that offered you a lift, or the old rusty ones, or the ones that were already crammed full of children and the driver would say, “I think we can squeeze in one more.”
The hitch-hiker poked his head through the open window and said, “Going to London, guv’nor?”
“Yes,” I said. “Jump in.”
He got in and I drove on.

TRADUCTION:

L’auto-stoppeur
J’avais une nouvelle voiture. C’était un jouet captivant / palpitant, une grosse B.M.W. Elle avait une vitesse de pointe de / Elle allait jusqu’à 200km/h et avait une accélération stupéfiante. La carrosserie était bleu pâle. Les sièges étaient d’un bleu plus foncé et ils étaient faits d’un cuir souple véritable de la meilleure qualité. Les vitres ainsi que le toit ouvrant fonctionnaient électriquement. L’antenne remontait lorsque j’allumais la radio et disparaissait lorsque je l’éteignais. Le moteur puissant grondait et grognait d’impatience au ralenti / à faible régime, mais lorsque je roulais à 90km à l’heure, le grognement s’arrêtait / cessait et le moteur commençait à ronronner de plaisir.
Je roulais vers Londres, seul. C’était une très belle journée de juin. Dans les champs, on fanais / faisais les foins et de chaque côté de la route, il y avait des boutons d’or. Je glissais (?) [je ne pense pas que "murmurer" ou "chuchoter" soient adéquats ici] à 100 km à l’heure, confortablement / bien calé dans mon siège, et maintenais le cap / la stabilité de la voiture avec seulement / à peine deux doigts posés légèrement sur le volant. Devant moi, je vis un homme qui faisait de l’auto-stop. Je freinai et arrêtai la voiture à côté de lui. Je m’arrêtais toujours pour prendre les auto-stoppeurs. Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être debout sur le bord d’une route de campagne à regarder les voitures passer. Je haïssais / détestais les conducteurs car ils faisaient semblant de ne pas me voir, particulièrement ceux qui roulaient dans de grosses voitures sans passagers. Les grosses voitures de luxe ne s’arrêtaient que rarement. C’était toujours les plus petites qui vous prenaient, ou les vieilles rouillées, ou celles qui étaient déjà bondées / bourrées d’enfants et dont le conducteur disait : « Je pense qu’on peut se serrer davantage / en caser un de plus».
L’auto-stoppeur passa la tête par la vitre ouverte (?) et dit: « v’z’allez (??) à Londres, M’sieur / chef ?
- Oui, dis-je. Grimpez. »
Il monta et je démarrai.


Je vous remercie d'avance pour votre aide.
Cordialement,
Hela
 

CHOMAT

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Chers amis, bonsoir

Voici un texte de R. Dahl que j'ai traduit, pourriez-vous me dire ce que vous en pensez?

The Hitchhiker

I had a new car. It was an exciting toy, a big B.M.W. It had a top speed of 129 m.p.h. and terrific acceleration. The body was pale blue. The seats inside were darker blue and they were made of leather, genuine soft leather of the finest quality. The windows were electrically operated and so was the sun-roof. The radio aerial popped up when I switched on the radio, and disappeared when I switched it off. The powerful engine growled and grunted impatiently at slow speeds, but at sixty miles an hour the growling stopped and the motor began to purr with pleasure.
I was driving up to London by myself. It was a lovely June day. They were haymaking in the fields and there were buttercups along both sides of the road I was whispering along at seventy miles an hour, leaning back comfortably in my seat, with no more than a couple of fingers resting lightly on the wheel to keep her steady. Ahead of me I saw a man thumbing a lift. I touched the footbrake and brought the car to a stop beside him. I always stopped for hitch-hikers. I knew just how it used to feel to be standing on the side of a country road watching the cars go by. I hated the drivers for pretending they didn’t see me, especially the ones in big cars with three empty seats. The large expensive cars seldom stopped. It was always the smaller ones that offered you a lift, or the old rusty ones, or the ones that were already crammed full of children and the driver would say, “I think we can squeeze in one more.”
The hitch-hiker poked his head through the open window and said, “Going to London, guv’nor?”
“Yes,” I said. “Jump in.”
He got in and I drove on.

TRADUCTION:

L’auto-stoppeur
J’avais une nouvelle voiture. C’était un jouet captivant / palpitant(Ce jouet me captivait: C'était une grosse B.M.W. Elle atteignait les 200km/h et avait une accélération stupéfiante . La carrosserie était (d'un) bleu pâle. Les sièges, d’un bleu plus foncé, étaient en cuir souple véritable de la meilleure qualité. Les vitres ainsi que le toit ouvrant étaient commandés électriquement. L’antenne remontait lorsque j’allumais la radio et disparaissait lorsque je l’éteignais. Le moteur puissant grondait et grognait d’impatience au ralenti / à faible régime, mais lorsque je j'atteignais les 90km à l’heure, le grognement s’arrêtait / cessait et le moteur commençait alors à ronronner de plaisir.( laissait entendre un ronronnement de plaisir)
Je roulais vers Londres, seul. C’était une très belle journée de juin. Dans les champs, on fanais / faisait les foins et de chaque côté de la route, il y avait des boutons d’or. Je glissais (?)je tutoyais? je fleurtais avec? [je ne pense pas que "murmurer" ou "chuchoter" soient adéquats ici] à 100 km à l’heure, confortablement / bien calé dans mon siège, et maintenais le cap / la stabilité de la voiture avec seulement / à peine deux doigts posés légèrement sur le volant. Devant moi, je vis un homme qui faisait de l’auto-stop. Je freinai et arrêtai la voiture à côté de lui. Je m’arrêtais toujours pour prendre les auto-stoppeurs. Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être debout sur le bord d’une route de campagne à regarder les voitures passer. Je haïssais / détestais les conducteurs car ils faisaient semblant de ne pas me voir, particulièrement ceux qui roulaient dans de grosses voitures sans passagers. Les grosses voitures de luxe ne s’arrêtaient que rarement. C’était toujours les plus petites qui vous prenaient, ou les vieilles rouillées, ou celles qui étaient déjà bondées / bourrées d’enfants et dont le conducteur disait : « Je pense qu’on peut se serrer davantage / en caser un de plus».
L’auto-stoppeur passa la tête par la vitre ouverte (?) et dit: « v’z’allez (??) à Londres, M’sieur / chef ?
- Oui, dis-je. Grimpez. »
Il monta et je démarrai.


Je vous remercie d'avance pour votre aide.
Cordialement,
Hela
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hela

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Bonjour Alain :)

A part les parties soulignées vous pensez donc que le reste est bon?
Diriez-vous "Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être sur le bord d’une route de campagne" ou "faisait d'être debout sur..." ?

Voici une seconde version que je vous soumets pour correction si vous voulez bien. Je vous remercie par avance de votre aide.

TEXTE:
The sun shone down for nearly a week on the secret garden. The secret garden was what Mary called it when she was thinking of it. She liked the name, and she liked still more the feeling that when its beautiful old walls shut her in, no one knew where she was. It seemed almost like being shut out of the world in some fairy place. The few books she had read and liked had been fairy story books, and she had read of secret garden in some of the stories. Sometimes people went to sleep in them for a hundred years, which she had thought must be rather stupid. She had no intention of going to sleep, and, she was becoming wider awake every day which passed at Misselthwaite.

TRADUCTION:
Pendant près d’une semaine le soleil brilla / rayonna sur le jardin secret. Le jardin secret, c’était ainsi que Mary l’appelait quand elle y pensait. Elle aimait ce terme, et elle aimait davantage le sentiment que cela lui procurait quand ses jolis vieux murs l’isolaient et que personne ne savait où elle était. C’était comme si elle était dans un endroit magique retiré/coupé du monde. Les quelques livres qu’elle avait lus et qu’elle avait aimés étaient des contes de fées, et dans certains d’entre eux il était (justement ?) question / on parlait de jardin secret. Parfois leurs personnages s’endormaient pendant une centaine d’années, ce qu’elle trouvait / pensait être plutôt stupide. Elle n’avait nullement l’intention de s’endormir, au contraire, elle dormait chaque jour un peu moins / elle se tenait chaque jour plus éveillée à Misselthwaite.

Hela
 

CHOMAT

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Bonjour Alain :)

A part les parties soulignées vous pensez donc que le reste est bon?
Diriez-vous "Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être sur le bord d’une route de campagne" ou "faisait d'être debout sur..." ?

Voici une seconde version que je vous soumets pour correction si vous voulez bien. Je vous remercie par avance de votre aide.
C'est vrai : de faire le pied de grue // d'attendre , debout, sur une route perdue, petite route, peut-être même une petite départementale ( non ce n'est pas un pléonasme,car il y en a de grandes proches des nationales!)

TEXTE:
The sun shone down for nearly a week on the secret garden. The secret garden was what Mary called it when she was thinking of it. She liked the name, and she liked still more the feeling that when its beautiful old walls shut her in, no one knew where she was. It seemed almost like being shut out of the world in some fairy place. The few books she had read and liked had been fairy story books, and she had read of secret garden in some of the stories. Sometimes people went to sleep in them for a hundred years, which she had thought must be rather stupid. She had no intention of going to sleep, and, she was becoming wider awake every day which passed at Misselthwaite.

TRADUCTION:
Pendant près d’une semaine le soleil brilla / rayonna sur le jardin secret. Le jardin secret, c’était ainsi que Mary l’appelait quand elle y pensait. Elle aimait ce terme, et elle aimait davantage le sentiment que cela lui procurait quand ses jolis vieux murs l’isolaient et que personne ne savait où elle était. C’était comme si elle était dans un endroit magique retiré/coupé du monde. Les quelques livres qu’elle avait lus et qu’elle avait aimés étaient des contes de fées, et dans certains d’entre eux il était (justement ?) question / on parlait de jardin secret. Parfois leurs personnages s’endormaient pendant une centaine d’années, ce qu’elle trouvait / pensait être plutôt stupide. Elle n’avait nullement l’intention de s’endormir, au contraire, elle dormait chaque jour un peu moins / elle se tenait chaque jour plus éveillée à Misselthwaite.

Hela
I'll have a look at your second version
 

CHOMAT

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Bonjour Alain :)

A part les parties soulignées vous pensez donc que le reste est bon?
Diriez-vous "Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être sur le bord d’une route de campagne" ou "faisait d'être debout sur..." ?

Voici une seconde version que je vous soumets pour correction si vous voulez bien. Je vous remercie par avance de votre aide.

TEXTE:
The sun shone down for nearly a week on the secret garden. The secret garden was what Mary called it when she was thinking of it. She liked the name, and she liked still more the feeling that when its beautiful old walls shut her in, no one knew where she was. It seemed almost like being shut out of the world in some fairy place. The few books she had read and liked had been fairy story books, and she had read of secret garden in some of the stories. Sometimes people went to sleep in them for a hundred years, which she had thought must be rather stupid. She had no intention of going to sleep, and, she was becoming wider awake every day which passed at Misselthwaite.

TRADUCTION:
Pendant près d’une semaine le soleil brilla / rayonna sur le jardin secret. Le jardin secret, c’était ainsi que Mary l’appelait quand elle y pensait. Elle aimait ce terme, et elle aimait davantage le sentiment que cela lui procurait quand ses jolis vieux murs l’isolaient et que personne ne savait où elle était. C’était comme si elle était dans un endroit magique retiré/coupé du monde. Les quelques livres qu’elle avait lus et qu’elle avait aimés étaient des contes de fées, et dans certains d’entre eux il était (justement ?) question / on parlait de jardin secret. Parfois leurs ( les)personnages s’endormaient pendant une centaine d’années, ce qu’elle trouvait / pensait être plutôt stupide( style indirect libre dans le texte source Plus perfect et must--> réfléchir à un équivalent : chose stupide,style avait-elle pensé. Elle n’avait nullement l’intention de s’endormir, au contraire, elle dormait chaque jour un peu moins / elle se tenait chaque jour plus éveillée(chaque jour, elle s'éveillait un peu plus encore ) à Misselthwaite.

Hela
the connotative value of punctuation ...
 

hela

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Bonsoir, Alain

Concernant le premier texte:

A part les parties soulignées vous pensez donc que le reste est bon?
Diriez-vous "Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être sur le bord d’une route de campagne" ou "faisait d'être debout sur..." ?

Concernant le second texte:

1) peut-on traduire "must" par "sans doute / plutôt" ?

style indirect libre dans le texte source Plus perfect et must--> réfléchir à un équivalent : chose plutôt / sans doute stupide, avait-elle pensé.)

2) Est-ce que "s'éveiller" ici a le sens de "se tenir éveiller"?

chaque jour, elle s'éveillait un peu plus encore àMisselthwaite.

Merci mille fois
 

CHOMAT

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Bonsoir, Alain

Concernant le premier texte:

A part les parties soulignées vous pensez donc que le reste est bon?
Diriez-vous "Je savais exactement ce que cela faisait de se tenir / d’être sur le bord d’une route de campagne" ou "faisait d'être debout sur..." ?

Concernant le second texte:

1) peut-on traduire "must" par "sans doute / plutôt" ?

style indirect libre dans le texte source Plus perfect et must--> réfléchir à un équivalent : chose plutôt / sans doute stupide, avait-elle pensé.)

2) Est-ce que "s'éveiller" ici a le sens de "se tenir éveiller"?

chaque jour, elle s'éveillait un peu plus encore àMisselthwaite.

Merci mille fois
Pour le premier texte, regardez mes suggestions dans mon message précédent concernant le 'tenir debout'....

Pour le deuxième texte, modal---> adverbe est une excellente option: plutôt, sans doute, vraiment , affirment le point de vue du personnage/auteur( qui est la source ?) Style Indirect libre.

Dans le texte source becoming wide awaker il y a une thématisation du procès en devenir plus que l'état: s'éveiller marque cette évolution
 

hela

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Bonjour Bob et Alain,

Je souhaiterais revenir sur une phrase du premier texte de ce post. Comment faut-il comprendre l'anglais:

I was whispering along at seventy miles an hour, leaning back comfortably in my seat, with no more than a couple of fingers resting lightly on the wheel to keep her steady.

Je fredonnais en roulant à 110 km (à l’)heure, confortablement calé dans mon siège, me contentant d’effleurer le volant de deux doigts négligents pour maintenir le contrôle de la direction.

Je tutoyais / flirtais avec les 110 km heure, bien calé dans mon siège, et maintenais le cap/la stabilité de la voiture avec seulement/à peine deux doigts posés légèrement sur le volant.

Je me déplaçais dans un murmure à 110 km heure, bien calé dans mon siège, juste deux doigts posés légèrement sur le volant pour maintenir le cap.

Merci encore pour votre gentillesse.
 

BobK

Harmless drudge
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...

I was whispering along at seventy miles an hour, leaning back comfortably in my seat, with no more than a couple of fingers resting lightly on the wheel to keep her steady.

...

C'est très bien, ton 'me contentant d’effleurer le volant de deux doigts négligents', mais je n'ai aucune autre idée au sujet de comment traduire 'whispering along'. Le mot 'whispering' donne un sens de puissance, d'aise et de confort; il y avait - il y a pas mal de temps - 50/60 ans? - un grand avion avec le soubriquet 'the whispering giant'.

b
 

hela

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Bonjour Bob,

Donc d'après vous le "whispering" s'applique à la voiture et non pas au conducteur, n'est-ce pas? Dans ce cas la meilleure traduction serait la version 3 ?

Merci encore et bonne fin de journée :)
 

CHOMAT

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I wonder if Bob is not a Frenchman in disguise judging from his French which-by the by -doesn't need to be excused. ..
Anyway, I would agree with him even though I formely opted for the second version . On second thoughts, the lexical isotopy of the foretext has made me guess that whispering echoes grunt growl and purr. Those verbs refer to the car and its engine in particular.

How to translate the whisper along? : Bob suggests the idea of power and comfort :
by addition ( étoffement):
Dans un puissant bourdonnement,je filais à près de...
je conduisais à près de
la voiture m'emportait à près de.
La voiture , dans un ronflement, m'emportait. Je...
I'm sure you'll find a better solution.
 
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